On ne saurait trop recommander au gouvernement de faire un effort pour tenir ses promesses électorales après bientôt une année au pouvoir d'abord en ce qui concerne la qualité de vie des français qui commencent à penser qu'ils ont été leurrés par de merveilleux mirages à l'horizon 2008 et qu'ils vont maintenant devoir effectuer une trop longue traversée du désert en Sarkosie.
D'autant plus incompréhensible qu'ils savent parfaitement depuis des générations que la France n'est pas une immensité de dunes brûlées mais plutôt un véritable pays de cocagne convoité depuis l'antiquité par tous les affamés du nord, de l'est et du sud qui pendant des siècles se sont rués sur ses plaines, vallées et monts fertiles et giboyeux ne s'arrêtant qu'au bord de ses quatre mers pullulant de poissons. Rien à voir avec les étendues gelées du septentrion, avec les mornes steppes orientales fouettées par des vents perpétuels et glacés, avec les terres sèches et rocailleuses ibériques et méditerranéennes ou pire encore au delà avec les sables brûlants d'Afrique et d'Arabie.
Le pays n'étant donc pas en cause et nos dirigeants non plus, l'affirment ils, c'est donc bien la faute de quelque étrange ailleurs si le pouvoir d'achat du français aussi moyen que majoritaire chute vertigineusement depuis l'Europe, l'euro, le mondialisme, le cours du pétrole, le terrorisme, les immigrés clandestins ou non, les vieux qui ne veulent plus dégager, les chômeurs érémistes et racailles de banlieue qui dorment le jour, les SDF sous les ponts et les tentes et tous ces prétendus humains coupables de pauvreté et d'insolence au point de s'exhiber sur le seuil des nantis et qui feraient mieux de retourner d'où ils viennent même si c'est de nulle part à moins de se résigner à un nouvel esclavage.
Avant de satisfaire l'élite et les couches aisées de la population le premier devoir d'un gouvernement élu démocratiquement et qui se respecte est pourtant d'honorer ses engagements et promesses envers les plus défavorisés qui ne vivent plus que d'espoir.
Mesures indispensables :
Augmentation du pouvoir d'achat: cela concerne principalement les millions de personnes qui survivent à la limite ou en dessous du seuil de pauvreté, parmi lesquels les employés au SMIC ou à temps partiel obligés de vivre en couple pour subsister dans la plus grande précarité, les chômeurs en fin de droit ou radiés, les retraités dans l'impossibilité totale et définitive de gagner plus mais de plus en plus rejetés dans l'abandon et la misère. sans oublier les milliers d'étrangers en situation régulière ou non, accusés de vampiriser le pays quand ils ne sont pas condamnés à rentrer mourir avec leur famille dans leur pays.
Urgence : augmenter le SMIC à 2000 euros net.
Attribuer le SMIC à tout conjoint qui choisit de rester au foyer pour s'occuper des enfants,
mettre en place le R.S.A. afin de permettre une réelle amélioration de pouvoir d'achat lors d'emplois à temps partiel ce qui n'est pas le cas actuellement puisque l'allocation du R.M.I. est réduite selon les revenus mensuels même modestes, ce qui ne peut évidemment encourager à chercher du travail.
Créer et rémunérer des stages de formation pour toute personne en difficulté selon ses aptitudes quelle soit française ou non, et prendre en charge tout apprentissage en entreprise de même que les frais d'école pour l'obtention du permis de conduire la plupart du temps indispensable pour une embauche en milieu rural.
Ne pas mettre d'office à la retraite les personnes valides qui souhaitent continuer à travailler pour préserver leur niveau de vie et permettre aux retraités de reprendre une activité rémunérée sans réduire pour autant les pensions acquises et versées.
Attribuer à tout retraité, personne dépendante ou handicapée une pension au moins égale au SMIC.
Environnement :
le monde rural en France est actuellement totalement déserté, la vie y est absente et il faut donc
réhabiliter et repeupler les campagnes et villages en y favorisant l'installation d'entreprises de toutes sortes et en y réimplantant les services publics essentiels, écoles, postes, gares, hôpitaux ou dispensaires indispensables à toute communauté aussi petite soit elle, ce qui évite de longs et couteux déplacements préjudiciables aux particuliers et à l'économie nationale.
Dans les villes et banlieues il serait nécessaire d'instituer à nouveau l'ancienne "bourse d'échange du logement" qui avait été intelligemment créée dans les années soixante et qui permettait aux locataires d'échanger leurs domiciles pour se rapprocher de leur lieu de travail et d'économiser ainsi temps, fatigue et argent, le propriétaire ne pouvant s'opposer à la transaction sans raison valable et se trouvant forclos sans réponse de sa part dans le délai d'un mois. Cela diminuait sensiblement les embouteillages du matin et du soir et d'autant la pollution.
Il serait bon de donner aux taxis en plus de leur service habituel celui de transport collectif leur permettant de prendre autant de passagers que de places disponibles et selon des trajets ou destinations convenant à chacun comme cela se fait dans de nombreux pays ce qui a pour avantage de diminuer le trafic, la pollution, le prix des courses et d'augmenter le revenu du chauffeur qui ne roule jamais à vide.
Logement :
Il convient non seulement de construire au moins 20% de logements sociaux comme prévu en toute agglomération mais aussi d'encourager la mixité sociale pour éviter les ghettos de pauvres en exigeant des promoteurs immobiliers qu'ils prévoient 5% de logements sociaux à prix de vente ou de loyers très modérés dans tous leurs projets d'habitation y compris dans les zones résidentielles les plus chères et à grand standing.
Pour les actuels SDF de plus en plus nombreux même pourvus d'un emploi il faut rétablir dans chaque quartier des logements dits de gardiennage, anciennement conciergeries, procurant à leurs occupants des activités d'entretien, de surveillance d'immeubles et de rues, de gardes d'enfants, d'aide quotidienne aux personnes âgées, et multiples services de proximité et de convivialité. Et à défaut de logement immédiat dans la rue ou le quartier installer provisoirement des mobil-homes aménagés avec sanitaires, eau, électricité et chauffage dans l'attente d'une solution définitive.
Etant donné qu'il faut disposer d'un revenu mensuel en C.D.I. équivalant à trois fois le montant du loyer pour prétendre à quelque location il est évident que toute personne payée au S.M.I.C. ou moins ne peut offrir assez de caution aux assurances des agences et que l'Etat devrait se porter garant des paiements dans de telles situations. Cela était annoncé pendant la campagne électorale.
Comme défini précédemment il faut généraliser l'échange des domiciles entre villes et banlieues pour rapprocher le plus possible les habitants de leurs lieux de travail.
Santé publique :
Tout le monde ne bénéficie pas également d'une bonne santé et dans un pays démocratique et civilisé la solidarité nationale doit fonctionner à plein régime dans ce domaine et les lois instituées pour cela ne sauraient être transgressées et remises en question par aucun législateur.
Egalité et Fraternité ne donnent pas la liberté de négliger les plus faibles et de délaisser ceux que la nature ou la vie a profondément défavorisé ou meurtri. Cela ne parait pas discutable mais il est évident que l'égoïsme est plus courant chez l'être humain que l'altruisme de telle sorte que l'Etat de droit est seul en mesure de garantir sinon l'égalité au moins un minimum d'équité en ce qui concerne la santé. Ce qui revient à dire que riche ou , tout individu à le droit à un soutien collectif pour vivre en conservant aussi longtemps que possible son intégrité morale et physique.
Le système de sécurité sociale jusqu'ici en vigueur permet de compenser relativement bien les inégalités sociales et l'on doit bien reconnaître qu'après deux siècles de luttes de classes les avantages sociaux chèrement acquis font de la France un oasis de progrès des droits de l'homme dans la jungle du mondialisme et de son économie de marché aussi libéral que sauvage. Sorti de sa gangue minérale, végétale et animale originelle à force d'évolution pendant des millénaires l'être humain doit il redescendre au plus bas des bas fonds des soupes primitives simplement pour ne pas paraître désuet et ringard dans un environnement féroce ou n'est respectée que la loi du plus fort comme dans le modèle américain pourtant convoité et imité par tant de nations.
Ne cédons pas à la tentation de nous aligner sur ce système capitaliste démesuré où prime avant tout la rentabilité au détriment du bien public.
Sauvons nos hôpitaux et tous lieux de santé dans les villes et au fin fond de nos campagnes pour que personne ne souffre et meure faute de soins de proximité.
Que deviendront pauvres, trop jeunes ou trop vieux sans téléphone, ordinateur, portable et véhicule lorsqu'il n'y aura aucun secours à moins de dizaines de kilomètres et plus personne dans le voisinage pour les secourir?
Par exemple à l'heure actuelle, en ce mois d'avril finissant il est déjà impossible pour une femme enceinte habitant à Paris de s'inscrire dans une maternité. Il n'y a plus de place en cliniques ou en hôpitaux équipés avant septembre. Cela était inconcevable il y a une vingtaine d'années. Et bien heureux ceux qui n'ont pas à recourir aux urgences.
Si en ce moment vous avez une mauvaise vue attendez l'année prochaine pour consulter un ophtalmologue et que dire aux pauvres privés de dents le plus souvent âgés si ce n'est leur conseiller soupes et purées à vie car pivots, implants, bridges et même dentiers sont le privilège des riches, les seuls à pouvoir s'offrir de belles mâchoires sourires et rires à 15 ou 20000 euros. Si rien n'est fait dans ces domaines de santé en France les taupes y verront de loin et les poules se brosseront les dents quand les pauvres marcheront encore à tâtons et pourront toujours se brosser les gencives.
Myopes et édentés avaient repris espoir lors des promesses faites à ce sujet pendant la campagne présidentielle.
A voir prochainement : l'éducation, l'école, la justice, etc...
Manifestement nos élus préfèrent la fracture sociale à la facture sociale.
Mais attention à Mai 2008
A suivre ...
D'autant plus incompréhensible qu'ils savent parfaitement depuis des générations que la France n'est pas une immensité de dunes brûlées mais plutôt un véritable pays de cocagne convoité depuis l'antiquité par tous les affamés du nord, de l'est et du sud qui pendant des siècles se sont rués sur ses plaines, vallées et monts fertiles et giboyeux ne s'arrêtant qu'au bord de ses quatre mers pullulant de poissons. Rien à voir avec les étendues gelées du septentrion, avec les mornes steppes orientales fouettées par des vents perpétuels et glacés, avec les terres sèches et rocailleuses ibériques et méditerranéennes ou pire encore au delà avec les sables brûlants d'Afrique et d'Arabie.
Le pays n'étant donc pas en cause et nos dirigeants non plus, l'affirment ils, c'est donc bien la faute de quelque étrange ailleurs si le pouvoir d'achat du français aussi moyen que majoritaire chute vertigineusement depuis l'Europe, l'euro, le mondialisme, le cours du pétrole, le terrorisme, les immigrés clandestins ou non, les vieux qui ne veulent plus dégager, les chômeurs érémistes et racailles de banlieue qui dorment le jour, les SDF sous les ponts et les tentes et tous ces prétendus humains coupables de pauvreté et d'insolence au point de s'exhiber sur le seuil des nantis et qui feraient mieux de retourner d'où ils viennent même si c'est de nulle part à moins de se résigner à un nouvel esclavage.
Avant de satisfaire l'élite et les couches aisées de la population le premier devoir d'un gouvernement élu démocratiquement et qui se respecte est pourtant d'honorer ses engagements et promesses envers les plus défavorisés qui ne vivent plus que d'espoir.
Mesures indispensables :
Augmentation du pouvoir d'achat: cela concerne principalement les millions de personnes qui survivent à la limite ou en dessous du seuil de pauvreté, parmi lesquels les employés au SMIC ou à temps partiel obligés de vivre en couple pour subsister dans la plus grande précarité, les chômeurs en fin de droit ou radiés, les retraités dans l'impossibilité totale et définitive de gagner plus mais de plus en plus rejetés dans l'abandon et la misère. sans oublier les milliers d'étrangers en situation régulière ou non, accusés de vampiriser le pays quand ils ne sont pas condamnés à rentrer mourir avec leur famille dans leur pays.
Urgence : augmenter le SMIC à 2000 euros net.
Attribuer le SMIC à tout conjoint qui choisit de rester au foyer pour s'occuper des enfants,
mettre en place le R.S.A. afin de permettre une réelle amélioration de pouvoir d'achat lors d'emplois à temps partiel ce qui n'est pas le cas actuellement puisque l'allocation du R.M.I. est réduite selon les revenus mensuels même modestes, ce qui ne peut évidemment encourager à chercher du travail.
Créer et rémunérer des stages de formation pour toute personne en difficulté selon ses aptitudes quelle soit française ou non, et prendre en charge tout apprentissage en entreprise de même que les frais d'école pour l'obtention du permis de conduire la plupart du temps indispensable pour une embauche en milieu rural.
Ne pas mettre d'office à la retraite les personnes valides qui souhaitent continuer à travailler pour préserver leur niveau de vie et permettre aux retraités de reprendre une activité rémunérée sans réduire pour autant les pensions acquises et versées.
Attribuer à tout retraité, personne dépendante ou handicapée une pension au moins égale au SMIC.
Environnement :
le monde rural en France est actuellement totalement déserté, la vie y est absente et il faut donc
réhabiliter et repeupler les campagnes et villages en y favorisant l'installation d'entreprises de toutes sortes et en y réimplantant les services publics essentiels, écoles, postes, gares, hôpitaux ou dispensaires indispensables à toute communauté aussi petite soit elle, ce qui évite de longs et couteux déplacements préjudiciables aux particuliers et à l'économie nationale.
Dans les villes et banlieues il serait nécessaire d'instituer à nouveau l'ancienne "bourse d'échange du logement" qui avait été intelligemment créée dans les années soixante et qui permettait aux locataires d'échanger leurs domiciles pour se rapprocher de leur lieu de travail et d'économiser ainsi temps, fatigue et argent, le propriétaire ne pouvant s'opposer à la transaction sans raison valable et se trouvant forclos sans réponse de sa part dans le délai d'un mois. Cela diminuait sensiblement les embouteillages du matin et du soir et d'autant la pollution.
Il serait bon de donner aux taxis en plus de leur service habituel celui de transport collectif leur permettant de prendre autant de passagers que de places disponibles et selon des trajets ou destinations convenant à chacun comme cela se fait dans de nombreux pays ce qui a pour avantage de diminuer le trafic, la pollution, le prix des courses et d'augmenter le revenu du chauffeur qui ne roule jamais à vide.
Logement :
Il convient non seulement de construire au moins 20% de logements sociaux comme prévu en toute agglomération mais aussi d'encourager la mixité sociale pour éviter les ghettos de pauvres en exigeant des promoteurs immobiliers qu'ils prévoient 5% de logements sociaux à prix de vente ou de loyers très modérés dans tous leurs projets d'habitation y compris dans les zones résidentielles les plus chères et à grand standing.
Pour les actuels SDF de plus en plus nombreux même pourvus d'un emploi il faut rétablir dans chaque quartier des logements dits de gardiennage, anciennement conciergeries, procurant à leurs occupants des activités d'entretien, de surveillance d'immeubles et de rues, de gardes d'enfants, d'aide quotidienne aux personnes âgées, et multiples services de proximité et de convivialité. Et à défaut de logement immédiat dans la rue ou le quartier installer provisoirement des mobil-homes aménagés avec sanitaires, eau, électricité et chauffage dans l'attente d'une solution définitive.
Etant donné qu'il faut disposer d'un revenu mensuel en C.D.I. équivalant à trois fois le montant du loyer pour prétendre à quelque location il est évident que toute personne payée au S.M.I.C. ou moins ne peut offrir assez de caution aux assurances des agences et que l'Etat devrait se porter garant des paiements dans de telles situations. Cela était annoncé pendant la campagne électorale.
Comme défini précédemment il faut généraliser l'échange des domiciles entre villes et banlieues pour rapprocher le plus possible les habitants de leurs lieux de travail.
Santé publique :
Tout le monde ne bénéficie pas également d'une bonne santé et dans un pays démocratique et civilisé la solidarité nationale doit fonctionner à plein régime dans ce domaine et les lois instituées pour cela ne sauraient être transgressées et remises en question par aucun législateur.
Egalité et Fraternité ne donnent pas la liberté de négliger les plus faibles et de délaisser ceux que la nature ou la vie a profondément défavorisé ou meurtri. Cela ne parait pas discutable mais il est évident que l'égoïsme est plus courant chez l'être humain que l'altruisme de telle sorte que l'Etat de droit est seul en mesure de garantir sinon l'égalité au moins un minimum d'équité en ce qui concerne la santé. Ce qui revient à dire que riche ou , tout individu à le droit à un soutien collectif pour vivre en conservant aussi longtemps que possible son intégrité morale et physique.
Le système de sécurité sociale jusqu'ici en vigueur permet de compenser relativement bien les inégalités sociales et l'on doit bien reconnaître qu'après deux siècles de luttes de classes les avantages sociaux chèrement acquis font de la France un oasis de progrès des droits de l'homme dans la jungle du mondialisme et de son économie de marché aussi libéral que sauvage. Sorti de sa gangue minérale, végétale et animale originelle à force d'évolution pendant des millénaires l'être humain doit il redescendre au plus bas des bas fonds des soupes primitives simplement pour ne pas paraître désuet et ringard dans un environnement féroce ou n'est respectée que la loi du plus fort comme dans le modèle américain pourtant convoité et imité par tant de nations.
Ne cédons pas à la tentation de nous aligner sur ce système capitaliste démesuré où prime avant tout la rentabilité au détriment du bien public.
Sauvons nos hôpitaux et tous lieux de santé dans les villes et au fin fond de nos campagnes pour que personne ne souffre et meure faute de soins de proximité.
Que deviendront pauvres, trop jeunes ou trop vieux sans téléphone, ordinateur, portable et véhicule lorsqu'il n'y aura aucun secours à moins de dizaines de kilomètres et plus personne dans le voisinage pour les secourir?
Par exemple à l'heure actuelle, en ce mois d'avril finissant il est déjà impossible pour une femme enceinte habitant à Paris de s'inscrire dans une maternité. Il n'y a plus de place en cliniques ou en hôpitaux équipés avant septembre. Cela était inconcevable il y a une vingtaine d'années. Et bien heureux ceux qui n'ont pas à recourir aux urgences.
Si en ce moment vous avez une mauvaise vue attendez l'année prochaine pour consulter un ophtalmologue et que dire aux pauvres privés de dents le plus souvent âgés si ce n'est leur conseiller soupes et purées à vie car pivots, implants, bridges et même dentiers sont le privilège des riches, les seuls à pouvoir s'offrir de belles mâchoires sourires et rires à 15 ou 20000 euros. Si rien n'est fait dans ces domaines de santé en France les taupes y verront de loin et les poules se brosseront les dents quand les pauvres marcheront encore à tâtons et pourront toujours se brosser les gencives.
Myopes et édentés avaient repris espoir lors des promesses faites à ce sujet pendant la campagne présidentielle.
A voir prochainement : l'éducation, l'école, la justice, etc...
Manifestement nos élus préfèrent la fracture sociale à la facture sociale.
Mais attention à Mai 2008
A suivre ...
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